Sauvagine

Revue de presse

Les subtilités de l'ouverture anticipée de la chasse au gibier d'eau sont à l'honneur ce mois-ci. Deux lectures qui mélangent plaisir et pratique s'imposent donc : côté RNC une vue synthétique et intelligente de toutes les dates d'ouverture, en fonction des espèces et des territoires justifie à elle seule le détour. Du côté de Connaissance de la Chasse, Philippe Aillery livre une analyse critique et dépassionnée sur le présent et l'avenir de la chasse avec des appelants et un article jouissif sur l'usage des formes. Pour les chasseurs d'images, ce numéro 365 pousse les portes de la digiscopie, un moyen comme un autre de prolonger hors saison les délices des chasses d'affût. Bonne(s) lecture(s) !

Bienvenue !

Quelques mots de bienvenue aux lecteurs qui découvrent ce blog grâce à la sympathique brêve qu'a eu la gentillesse d'y consacrer le magazine Connaissance de la Chasse dans son édition de Juillet 2006. Ce site parle des migrateurs, des zones humides et des chasseurs qui y consacrent leur vie : puissiez-vous y trouver un relais fidèle des émotions si particulières de la chasse ensorcelante, puissiez-vous également les partager avec ceux qui en ignorent tout.

Gibier d'eau, chasseurs de migrateurs

Les chasses des migrateurs sont contraintes par les chiffres et l'histoire à une réduction de leur périmètre et de leurs spécificités, et il était sans doute plus simple d'écrire la Chasse des Canards en 1953 que de s'engager dans la rédaction d'une somme sauvaginière au début du 21ème siècle. C'est pourtant le tour de force qu'a réussi un journaliste bien connu des lecteurs de Connaissance de la Chasse, Philippe Aillery, en publiant il y a quelques mois un ouvrage aussi précis que précieux sur notre passion, Gibier d'eau, Chasseurs de migrateurs.

La Pose, par Thierry Delefosse

Le livre de Thierry Delefosse, la Pose était de ceux dont parlaient les revues cynégétiques depuis quelques mois, et j'ai attendu jusqu'au début de cette année pour le lire. Le dévorer est un terme plus exact, car une nuit a suffi pour que j'arrive au mot fin et je ne sais qu'en dire sinon que ces carnets de sauvagine sont de ceux que j'aurais aimé écrire.