Les travaux de confinement avancent, et il ne restera bientôt plus rien du rêve que j'avais formé d'un élevage de canards presque sauvages. J'ai gardé le minimum, deux couples de siffleurs, un de sarcelles, un de pilets et quelques colverts que j'ai simplement enfermés dans un parc transformé en bunker... puisse la psychose en rester là.
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