La vidéo ci-dessous fournit une preuve tangible des méthodes qui sont employées aux Pays-Bas pour contrôler les populations surnuméraires d'oiseaux migrateurs. Je vous laisse apprécier la barbarie de la méthode, qui s'applique manifestement à des oiseaux en mue, et qui en laisse une quantité invraisemblable mourir dans des conditions atroces.
La Bernache Nonette, dont la vidéo ci-dessous présente les conditions de capture fait l'objet de mesures de protection partout en Europe, et de l'aveu même de Wetlands International enregistre une dynamique positive de ses effectifs, quelle que soit la sous population considérée :
Groenland: ~56,400 individus (qui hivernent en Ecosse et en Irlande)
Svalbard: ~27,000 individus qui hivernent au Sud Ouest de l'Ecosse
Russie/Mer du Nord: 420,000 individus qui hivernent en Allemagne et aux Pays-Bas
Je m'interroge une fois de plus sur la pertinence du maintien dans les catégories protégées des espèces dont la dynamique de croissance est si positive, qu'elle représente une menace potentielle potentiellement pour les équilibres écologiques. Cette interrogation est d'autant plus vive que ces mêmes espèces font l'objet de mesure de destruction assez violentes dans un pays qui a érigé l'écologie protectionniste en mode de gouvernement, banni la chasse, et se retrouve contraint à la barbarie pour préserver ses milieux... sans remettre à l'ordre du jour l'exercice de la chasse.
Les APN les plus hostiles au développement de la chasse des gibiers migrateurs ne perdent pas une occasion d'engager la gestion de la chasse sur ce terrain de l'incohérence outrée... elles bénéficient de la perte de sens et de connaissance globale qui affecte la société française, et qui valorise l'idôlatrie animale, aux dépens du bon sens écologiques. Même si nous sommes acculés, nous disposons d'excellentes raisons de reprendre l'offensive sur la modification du statut des espèces qui font l'objet de destructions massives dans les pays voisins de la France, quitte à envisager que des limites strictes dans la durée (5 ans, par exemple) soient mises en oeuvre. Nous avons adopté la logique de moratoires pour les Courlis, les Barges et les Eiders... demandons à nos opposants de faire preuve de la même ouverture d'esprit et d'accepter que le principe de flexibilité vienne modérer les excès du principe de précaution.
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Reprise de nonettes aux Pays-Bas (vidéo)
La vidéo ci-dessous fournit une preuve tangible des méthodes qui sont employées aux Pays-Bas pour contrôler les populations surnuméraires d'oiseaux migrateurs. Je vous laisse apprécier la barbarie de la méthode, qui s'applique manifestement à des oiseaux en mue, et qui en laisse une quantité invraisemblable mourir dans des conditions atroces.
La Bernache Nonette, dont la vidéo ci-dessous présente les conditions de capture fait l'objet de mesures de protection partout en Europe, et de l'aveu même de Wetlands International enregistre une dynamique positive de ses effectifs, quelle que soit la sous population considérée :
Groenland: ~56,400 individus (qui hivernent en Ecosse et en Irlande)
Svalbard: ~27,000 individus qui hivernent au Sud Ouest de l'Ecosse
Russie/Mer du Nord: 420,000 individus qui hivernent en Allemagne et aux Pays-Bas
Je m'interroge une fois de plus sur la pertinence du maintien dans les catégories protégées des espèces dont la dynamique de croissance est si positive, qu'elle représente une menace potentielle potentiellement pour les équilibres écologiques. Cette interrogation est d'autant plus vive que ces mêmes espèces font l'objet de mesure de destruction assez violentes dans un pays qui a érigé l'écologie protectionniste en mode de gouvernement, banni la chasse, et se retrouve contraint à la barbarie pour préserver ses milieux... sans remettre à l'ordre du jour l'exercice de la chasse.
Les APN les plus hostiles au développement de la chasse des gibiers migrateurs ne perdent pas une occasion d'engager la gestion de la chasse sur ce terrain de l'incohérence outrée... elles bénéficient de la perte de sens et de connaissance globale qui affecte la société française, et qui valorise l'idôlatrie animale, aux dépens du bon sens écologiques. Même si nous sommes acculés, nous disposons d'excellentes raisons de reprendre l'offensive sur la modification du statut des espèces qui font l'objet de destructions massives dans les pays voisins de la France, quitte à envisager que des limites strictes dans la durée (5 ans, par exemple) soient mises en oeuvre. Nous avons adopté la logique de moratoires pour les Courlis, les Barges et les Eiders... demandons à nos opposants de faire preuve de la même ouverture d'esprit et d'accepter que le principe de flexibilité vienne modérer les excès du principe de précaution.
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