Les choses bougent à l'ANCGE, et il me semble que ce soit dans le bon sens. J'en parle d'autant plus volontiers que je n'accordais pas grand crédit à la nouvelle équipe dirigeante sur sa capacité à faire évoluer le modèle de l'organisation. Mea culpa, les signaux qu'envoie l'Avenue des Chasseurs sont positifs, en particulier dans la manière la gouvernance de l'entreprise fait sienne les vertus de la démocratie participative.
Groupes de travail. Voilà, semble-t-il, la clé de voute d'une organisation contrainte à se reposer sur les participations bénévoles de ses membres, faute de finances suffisantes pour payer une équipe permanente de professionnels dédiés au développement de la chasse au gibier d'eau. Cette faiblesse de moyens n'est un obstacle qu'en apparence. En faisant appel aux bonnes volontés des chasseurs, on perd en inertie et on gagne en créativité; et Dieu sait que si l'ANCGE excellait dans la première elle manquait cruellement de la seconde.
De la bonne exécution de ces excellentes intentions dépend la capacité du bureau à animer les énergies de ceux qui participeront aux groupes de travail, et à les faire vivre dans la durée. L'attitude du CA est également une grande inconnue. Nouveau défi, donc, mais pour le moment, les doutes font place à une excellente surprise.
Et l'espoir renaît. Pour lire l'éditorial de la Sauvagine du mois de Septembre 2009, cliquez ici.
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