Quelques lignes sur le plus parisien des rendez-vous de la ruralité, le Country Show auquel m'avaient invité les Belmas Père et Fils dont le stand était une redoutable machine à rêves consacrée cette fois-ci aux bécassines et aux grives.
Parmi les mille et uns objets du désir, un détour par le stand Phénix Gibier m'a permis de trouver les filets de volière dont j'ai besoin pour recouvrir le parc que je suis en train d'installer au fond du jardin. Une trouvaille sans doute moins désirable que l'exposition du stand Purdey, les bonnes occasions de l'Armurerie Beck, les vestes camouflées de la maison DeerHunter ou les invitations aux expéditions sauvaginières de l'excellente agence DHD Laika, mais tellement plus en phase avec mes préoccupations du moment.
Autre préoccupation du moment, renouveler ma cotisation à l'ANCGE histoire de contribuer à ma façon à la dimension politique de notre passion. Dont acte sur le beau stand de l'Association des Chasseurs Sauvaginiers d'Ile de France qui faisait oeuvre de vulgarisation. A signaler l'organisation d'un stage de découverte de la hutte les 2 et 3 juin prochains à Gisors ouvert à ceux qui n'ont pas encore eu la joie de passer une nuit aux guignettes.
Dernier arrêt pour discuter avec le passionné et passionnant président du Club International des Chasseurs de Bécassines. Discuter des oiselles, bien sûr, et des livres passés (Chasser les Bécassines) et à venir : Patrice Février promet pour les tous premiers jours de Juin (NDLR : j'avais écrit février dans la première version de cette note) la publication d'un guide pratique de la chasse des bécassines en France (par souscription auprès du CICB : [email protected]). Deux heures, pour le plaisir, en attendant Chambord...
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